mai 6, 2024

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Je me souviens du jour où le train Mercy de la Seconde Guerre mondiale est arrivé à Providence en provenance de France.

Je me souviens du jour où le train Mercy de la Seconde Guerre mondiale est arrivé à Providence en provenance de France.

Mike Fink, professeur à la retraite de la Rhode Island School of Design et contributeur occasionnel, vit à Providence.

Après la libération de l’Europe et les célébrations et salutations aux forces alliées de la Seconde Guerre mondiale, j’ai commencé ma carrière de chroniqueur.

En tant que rédacteur en chef du journal du collège (Nathan) Bishop Bugle, âgé de 14 ans, j’ai été envoyé en ville pour saluer le « Train de la Miséricorde ». Comme certains d’entre vous s’en souviennent peut-être, la nouvelle République française a donné des wagons couverts à chacun des 48 États d’alors, remplis de fêtes classiques, de napperons en dentelle, d’une variété de fromages et de pâtisseries, qui étaient synonymes de gratitude et de camaraderie.

Eh bien, j’ai tapé une histoire sur une machine à écrire qui n’avait que des majuscules, et puis… des années, des décennies ont passé et la mémoire s’est estompée… jusqu’à ce que le Providence Journal publie une possibilité, peut-être grâce à l’épave du wagon couvert. Certains peuvent être trouvés à la décharge. Tous les États ne protègent pas ce moment, ce monument ; Certains les ont jetés, d’autres les ont conservés comme trésors historiques. J’ai suivi l’exemple de cet article de journal et voilà ! J’ai trouvé le train abandonné dans le comté du Sud et le Musée du travail et de la culture de Woonsocket a envoyé une équipe pour le récupérer et le remettre dans son état d’origine.

J’ai quelques instantanés que j’ai pris de cet effort et je les partagerai avec vous. Avec mon respect et mon affection pour ce musée et tous ceux qui travaillent à sa place. La restauration est une œuvre d’art, de dévouement et de dévouement, et j’oserais y ajouter une finition personnelle. Ma défunte mère a grandi à Montréal et m’a appris quelques expressions françaises. L’une d’elles est « Ne dis jamais à la fontaine, je ne boir pas de ton veille », qui se traduit par « Ne dites jamais à une fontaine, je ne boirai jamais votre eau ». Je veux dire, tout arrive à tout le monde… ou quelque chose comme ça.

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C’est peut-être même ce dicton qui m’a envoyé à Paris pendant une année entière pour découvrir quelles autres friandises il y avait à bord de ce train de la Mersey. Aujourd’hui, j’ai trouvé ma réponse en visitant le Pettikarai qui a repris vie. Comme un message de remerciement spécial pour que je rende ce geste généreux et remercie la France d’avoir débuté ma carrière.