avril 26, 2024

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Dernières nouvelles hypothécaires : L’indice d’abordabilité de la Banque du Canada a atteint son pire niveau depuis 1991

Dernières nouvelles hypothécaires : L’indice d’abordabilité de la Banque du Canada a atteint son pire niveau depuis 1991

L’abordabilité du logement s’est détériorée à son pire niveau en plus de 30 ans, selon les données de la Banque du Canada.

La Banque du Canada a publié la semaine dernière les résultats du premier trimestre de son indice d’abordabilité du logement (IAH), qui ont fortement augmenté par rapport au trimestre précédent.

Les données montrent qu’un ménage doit désormais consacrer 42,8 % de son revenu disponible aux dépenses liées au logement. C’est en hausse par rapport à 39,7 % au quatrième trimestre 2021 et 34,7 % un an plus tôt.

L’indice mesure la part du revenu nécessaire pour les frais de logement tels que les paiements hypothécaires et les services publics, mais exclut les impôts fonciers.

Ce communiqué fait suite à des résultats similaires de la Banque Nationale du Canada au premier trimestre Suivi de l’accessibilité financière du logement. La mesure, qui suit méticuleusement les coûts hypothécaires, a connu sa cinquième baisse consécutive.

«Pour la première fois depuis 1994, il faudra plus de 50% du revenu d’un ménage représentatif pour rembourser une hypothèque sur une maison représentative dans les grands centres urbains du Canada», a noté NBC.

Le changement a été motivé par une augmentation trimestrielle de 46 points de base du taux de référence sur 5 ans utilisé dans les mesures d’accessibilité du rapport – la plus forte augmentation trimestrielle depuis 2013.

Depuis lors, les taux fixes et variables ont augmenté de façon spectaculaire.

Desjardins a révisé à la baisse ses prévisions pour le marché de l’habitation

Desjardins est la dernière banque à revoir ses prévisions pour le marché de l’habitation au pays.

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Dans une note de recherche publiée jeudi, les économistes de Desjardins ont déclaré s’attendre à ce que les prix des maisons chutent entre 20% et 25% de leur sommet de février à décembre 2023. Auparavant, ils avaient prévu une baisse de 15%.

Après avoir culminé en février au niveau national, les prix des logements ont continué de baisser et
Ils ont écrit plus pour couper avant de trouver le fond.

« Malgré l’accélération du rythme de déclin, nous continuons de croire qu’en 2023, les prix des maisons finiront au-dessus des niveaux d’avant la pandémie à l’échelle nationale et dans chaque comté », ont-ils ajouté. « Il est peu probable que ce soit le cas pour les ventes, cependant, qui ont suffisamment chuté pour que la plupart des marchés du logement soient revenus à une zone d’équilibre. »

Desjardins a noté que ses « perspectives plus sombres » sont dues à une série de données faibles jusqu’à présent cette année, ainsi qu’à un resserrement monétaire plus agressif que prévu.

« Toutefois, la faiblesse de l’économie canadienne principalement attribuable au marasme du marché de l’habitation devrait inciter la banque à commencer à réduire les taux d’intérêt d’ici la fin de l’année prochaine », ont ajouté les économistes. « Les marchés semblent déjà anticiper cela car les rendements obligataires ont probablement atteint un sommet. »

L’examen fait suite à des démarches similaires de RBC (lien) et de BMO. Robert Hogg, économiste de RBC A écrit Plus récemment, il prévoyait que les reventes de maisons chuteraient d’environ 23 % cette année et de 15 % l’année prochaine, le prix de référence national global chutant de 12 % « du plus haut au plus bas » d’ici le deuxième trimestre de 2023. Pendant ce temps, BMO s’attend à ce que les prix augmentent. et chuter de plus de 20 %.

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Les prix de l’immobilier à domicile continuent d’augmenter: RE / MAX

Malgré le ralentissement du marché immobilier à travers le pays, les propriétés récréatives au Canada continuent de connaître une forte demande, selon les derniers rapports. Signaler De RE/MAX.

Alors que les ventes de propriétés récréatives ont fortement chuté, les prix moyens sont demeurés bien au-dessus des niveaux de l’an dernier en mai.

a déclaré Chuck Morney, président de la Lakelands Association of Realtors. « Les prix se dirigent toujours vers des sommets historiques, mais ils commencent à montrer des signes d’augmentation. »

Voici quelques exemples de la façon dont les prix des maisons de campagne augmentent à travers le pays, toujours en mai 2022 :

  • Lacs Kawartha, Ontario
    • Ventes : -35,5 % (Annuel)
    • Prix ​​moyen : 806 000 $ (+30,4 %)
  • Powell River Sunshine Coast, Colombie-Britannique
    • Ventes : inchangées
    • Prix ​​moyen : 677,950 $ (+43,3 %)
  • Île-du-Prince-Édouard
    • Ventes : -8,5%
    • Prix ​​moyen : 405 686 $ (+20,9 %)
  • Lethbridge, AP
    • Ventes : -3,8%
    • Prix ​​moyen : 348 603 $ (+7,4 %)

RE/MAX a ajouté que le pays des chalets « n’est plus seulement un foyer pour les retraités à la recherche d’une vie tranquille dans leur âge d’or ou les familles à la recherche de divertissement sous le soleil d’été », mais plutôt un point chaud pour les jeunes professionnels travaillant de plus en plus à domicile.

« Le chalet devient leur résidence principale, pas une maison de vacances », note le rapport.