mai 3, 2024

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Un mémorial unique de la Première Guerre mondiale se trouvait autrefois au cimetière d’Arlington

Je vous contacte au sujet de sept mudstones sacrés de la Seconde Guerre mondiale, six en France et un en Amérique. Un ami de ma ville natale en Vendée, en France, était en vacances en Corse et y a croisé un ami. Elle m’a envoyé une photo. Il indique que la tombe, autrefois située au cimetière national d’Arlington, a été détruite en 1938. Connaissez-vous la cause de sa disparition ? La tombe a-t-elle une plaque ou quelque chose indiquant sa présence ?

Annie Poutine King, Washington

Les soldats connaissent très bien le terrain sur lequel ils combattent. La terre du champ de bataille recouvre leurs uniformes, remplit leurs poumons, obstrue leurs fusils. Le sol est à la fois hostile et sacré. Enfile des bottes mouillées et boueuses. Les abris secs et sales constituent des terriers.

Après la guerre, la terre est devenue sacrée. En 1914, le poète anglais Rupert Brooke « Le Soldat » est sorti. Cela commence:

Si je dois mourir, ne pense qu’à moi :

Ce quelque chose est dans le coin d’un champ étranger

C’est toujours l’Angleterre. sera

Une riche poussière disparut sur cette terre fertile ;

Cette riche poussière était constituée des corps de combattants comme Brooke, enterrés en Grèce un an plus tard après être morts d’une infection alors qu’ils servaient dans la marine britannique.

Français Gaston DePlace A survécu à la guerre. Né en 1895, il sert pendant 40 mois dans le 356e Régiment d’infanterie, notamment à Verdun. Deblaize était sculpteur et, après la guerre, il s’est inspiré d’un aspect que n’importe qui marchant dans la campagne aurait rencontré : les balises routières et ce que les Français appellent les bornes. ours.

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Deblaize a eu l’idée de réaliser une petite maquette ours Fabriqués en terre cuite, chacun avait la forme d’une colonne trapue, qui contenait un casque distinctif de soldat français à larges bords appelé casque Adrian. À l’intérieur de chaque sculpture en forme de cercueil se trouvait de la terre provenant du champ de bataille de Verdun.

« Ces travaux sont d’une grande importance en raison des combats acharnés pour ce territoire », écrit l’historien. Pierre Doyle « La Première Guerre mondiale en 100 articles. »

Durant la Première Guerre mondiale, les blessures au visage étaient un terrible symbole de guerre pour récolter des fonds pour l’Association des blessés du visage et du crâne, ou Union des Plesses de la Face (UPF).

Des milliers d’hommes – connus sous le nom les gueules cassées ou « Broken Faces » – appartenaient à l’organisation qui organisait des excursions, ouvrait un centre d’hébergement et faisait du lobbying en faveur de ses membres. (Parmi leurs préférences, ils avaient le droit de choisir leurs propres dentistes, médecins et prothésistes, comme c’était le cas pour les autres anciens combattants. Marjorie Gehrhardt Son 2013 à l’Université d’Exeter Thèse de doctorat sur la distorsion faciale Soldats alliés.)

Ce sont des petits Bornes de la Terre Sacrée – Les Pierres de Terre Sainte – furent le précurseur du prochain projet de Deblaize : Un pilier en béton de quatre pieds de haut contenant des sacs de terre, chacun provenant d’un champ de bataille où des soldats américains ont combattu. Cadeau à l’Amérique, il fut érigé en mars 1929 dans la section 18 du cimetière national d’Arlington, à l’ouest de Clayton Avenue, et inauguré en mai suivant.

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Deblaize finira par créer des monuments similaires dans toute la France, six au total. À l’intérieur se trouvent des terres provenant d’endroits comme l’Alsace, la Champagne, la Somme et l’Yser.

Le monument d’Arlington a été construit en premier, mais il est tombé en premier. Un défaut apparent dans le béton a entraîné une grave érosion du monument et celui-ci a été retiré pour être exposé en 1938. Confirmé que la tombe n’avait aucune plaque indiquant son existence antérieure.

La section 18 est le dernier lieu de repos de nombreux Américains morts au combat pour mettre fin à toutes les guerres. Cette partie d’Arlington abrite également Croix d’Argonne, qui commémore l’offensive Meuse-Argonne de 1918. Plus de 26 000 Américains furent tués au cours de cette campagne, pour un total de 120 000.

La croix en marbre blanc de la section 18 est en fait la deuxième. Le premier, consacré en 1923, a été accidentellement détruit en 1981, selon le site Internet d’Arlington. Le remplacement date de juin 1982.