Connor Brown s'est dirigé vers la zone de pression lors du changement de quatrième trio des Oilers

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Malheurs pour l'attaquant des Oilers d'Edmonton Connor Brun Cela a été bien documenté. Lorsque le vétéran de 8 saisons dans la LNH a signé un contrat riche en bonus le 1er juillet dernier, il avait 448 matchs dans la LNH à son actif, au cours desquels il a marqué 90 buts et ajouté 126 passes décisives.

Depuis, il a disputé 44 matchs avec les Oilers, soit environ 10 % de son expérience précédente. Sur la base des taux de production établis, on pourrait s’attendre à ce qu’il ait marqué environ 9 buts jusqu’à présent ; En fait, il n’en a pas du tout. Une prédiction similaire suggère qu’il pourrait avoir 12 ou 13 passes décisives, et non les maigres 4 qu’il a réalisées jusqu’à présent.

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Mais comme le ballon refusait constamment de trouver le fond des filets, Brown s'est retrouvé à descendre sur la carte des profondeurs et ses opportunités offensives ont diminué de plus en plus. Après le début de la saison de ski côte à côte Connor McDavid Sur le premier trio à Edmonton (55 minutes ensemble à forces égales), Brown s'est rapidement retrouvé sur le deuxième trio, principalement avec Evander Kane Et Léon Draisaitl (Ses compagnons les plus courants restent respectivement à 192 et 140 minutes). Puis vint le moment sur la ligne 3 avec Ryan McLeod (135 minutes). Récemment, il a rejoint une quatrième unité sans aucune action avec d'autres vétérans de Checkers. Derek Ryan Et Matthias Janmark (89 et 82 minutes).

Cependant, lors de l'entraînement de dimanche, il s'est retrouvé dans une nouvelle position inconfortable : un attaquant supplémentaire.

C'est triste de constater que Brown n'a jamais réussi à trouver une alchimie offensive avec qui que ce soit. Au moins avec Ryan et Janmark, il y avait un élément de jeu défensif solide. En fait, avant le match d'hier à Dallas, aucun des trois joueurs sur la glace n'avait marqué un seul but en avantage numérique au cours des 12 matchs précédents. De plus, Brown est devenu partie intégrante de l'unité en désavantage numérique qui a joué un rôle clé dans la récente séquence de 16 victoires consécutives d'Edmonton. Un jeu défensif solide a grandement contribué à cette sortie, et Connor Brown l'a fourni depuis la quatrième ligne et depuis le PK.

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Tout s'est effondré lors de la désastreuse deuxième période de Dallas samedi, menant au banc pour le match et aux conséquences de la journée.

Le tableau du temps passé sur la glace de Brown raconte l'histoire :

3 transitions dans le cadre central. Tous les trois se sont retrouvés avec la rondelle dans le filet d'Edmonton.

Bien sûr, 2 des trois se sont produits lorsque les Oilers ont tué un penalty, mais le résultat final, c'était eux. Il n'a pas fait ça Tuez-le, et Brown lui-même fut parmi ceux qui furent battus lors du premier. Lors de son prochain changement à force égale, il a commis une faute défensive de base, permettant à Thomas Harley de Dallas, juste devant lui dans la fente, de percer un tir incontestable sur le filet.

L'ailier de 30 ans a passé les 14 minutes suivantes sur le banc, ne revenant au jeu que lorsque les Oilers ont commis un autre penalty en fin de période. Ce turnover n'a duré que 20 secondes avant que Dallas ne marque à nouveau. Ce n’était pas la faute de Brown lui-même cette fois, mais ce fut néanmoins une mise à mort bâclée.

Juste comme ça, le bilan défensif des Browns en 2024 était un gâchis. Il était sur la glace pour un but en 17 matchs, ses 36 minutes menant tous les attaquants au cours de cette période, mais cela a mal tourné avec deux ratés de la PPGA sur des occasions consécutives. Entre-temps, cette vilaine erreur était la principale erreur.

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Même les joueurs défensifs les plus forts commettent des erreurs de temps en temps, bien sûr. Ils ont également tendance à compenser en contribuant positivement à l'autre bout de la feuille, ce que Brown n'a pas réussi à faire pendant son mandat à Edmonton. Et comme mon pays Culte du hockey Son coéquipier, Curt Levins, a conclu son discours populaire 9 choses Ce matin encore, « Vous faites vos propres marges dans ce match. Et quand vous ne marquez pas du tout, ces marges se resserrent à l'autre bout. »

Assez serré Lorsque les tirs au but s'effondrent comme cela s'est produit lors des matchs récents et que la ligne de contrôle échoue dans sa mission principale, il est temps de changer. Après le match, les Oilers ont accordé trois buts lors du match de 9 :04 des Browns et aucun dans les 51 :26 restantes de ce qui a finalement été une victoire de 4-3 en prolongation.

Le quatrième trio remanié aura un flair offensif beaucoup plus grand. Dylan HollowayLui, qui a raté le match de samedi pour cause de maladie, reviendra dans l'alignement et jouera au milieu de terrain, comme il l'a fait brièvement plus tôt cette saison. Il apportera vitesse, athlétisme et exubérance juvénile à un trio âgé en moyenne de 31 ans même avec sa pièce maîtresse de 22 ans. (Ken Holland adore ces ailiers vétérans.) Sam Ganer, une récente « décision de l'entraîneur » qui a été placé dans l'alignement samedi en l'absence de Holloway, restera dans la rotation. Comme tu le feras Derek RyanBien qu’il soit transféré sur l’aile droite après avoir joué beaucoup de pivot récemment. Il devrait aider Ryan dans le cercle de mise au jeu, surtout de son côté fort (droit).

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Pendant ce temps, Janmark monte dans l'alignement jusqu'au poste précédent de Holloway à 3LW. Il ne fait aucun doute que cela suscitera l'indignation dans certains milieux pétroliers, mais considérez ceci : la dernière fois que le vétéran de la défense était sur la glace pour marquer un but équilibré, la Force avant deux mois c.Floride. C'était le 16 décembre. Depuis : 22 matches, 208 minutes égales, 4 buts à 0.

Évidemment, ce n'est pas tout ce qu'il a fait : pour commencer, les gardiens d'Edmonton ont réalisé 73 arrêts consécutifs au cours de ces trois matchs et demi de hockey. Cela se traduit par seulement 21 tirs sur 60, le meilleur taux de suppression de tirs de tous les attaquants des Oilers. L'équipe a enregistré des parts positives de tirs, d'occasions à haut danger (59 % !) et de buts attendus pendant le temps de glace de Janmark, malgré une mission qui l'a vu effectuer 50 % de mises en jeu de plus dans la zone D que dans la zone o. Tout en jouant pour la plupart avec d'autres broyeurs, le malheureux Brown se démarque parmi eux.

Les wagons couverts de Janmark au cours de cette période – 22 GP, 0-1-1, +3 – ne sont remarquables que par ces dernières statistiques par rapport à ceux qui les ont précédés. Il ne marque jamais, mais d’une manière ou d’une autre, il excelle. (À son honneur, sa seule pomme est venue sur le but égalisateur de Ryan en troisième période lors de la victoire de retour contre Toronto, un but assez important dans son contexte.)

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Il a également joué un rôle important dans une unité PK qui a été impressionnante en janvier avant de sombrer rapidement dans des moments difficiles récemment. À Dallas, son duo avec Brown s'est éclairé à deux reprises. Ainsi, Janmark – qui a lui-même assuré le service de presse lors d'un match récent – ​​se retrouvera avec un nouveau coéquipier du PK en Arizona lundi après-midi. La meilleure supposition ici est McLeod.

À propos de cette punition, c'est un meurtre

Dire « de haut en bas » serait un euphémisme. Le groupe a connu une mauvaise séquence en début de saison, une autre autour du match 30, et en connaît une autre maintenant. Exprimé ici sous la forme d'une moyenne mobile de buts en avantage numérique sur 5 matchs toutes les 60 minutes, seul le dernier point de données capture toute la terreur d'un groupe qui a accordé 9 buts au cours de ses 5 derniers matchs. Cela équivaut à -20,9 buts pour 60, soit plus d'un but toutes les 3 minutes. Immédiatement avant cette séquence de cinq matchs, PK avait disputé 7 matchs consécutifs sans accorder de but, et seulement un match sur 13.

Puis vint février, et l'unité tomba d'une falaise, du sommet de la montagne jusqu'à la vallée en contrebas.

L’histoire suggère que cela aussi va passer, ou du moins se corriger. Idéalement, cela se produira aussi rapidement que la disgrâce s’est produite, même s’il est peu probable que cela revienne à zéro.

Et à propos de ce jeu de puissance (en prolongation)

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