Samir Shaheen Hussain a été l’un des rares doubles gagnants dans la lutte pour la mainmise : affronter la colonisation médicale contre les enfants autochtones au Canada.
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Le rare double lauréat figurait parmi les vedettes de la 23e édition des Prix annuels de l’Union des écrivains du Québec, qui a eu lieu mercredi soir au Lion d’Or et animé par le romancier montréalais Sean Michaels, lauréat du prix Giller.
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Le premier auteur Samir Shaheen Hussain, pédiatre et professeur agrégé de médecine à l’Université McGill, a reçu le prix du premier livre de l’Université Concordia et le prix Mavis Galant pour les livres de non-fiction, pour Fighting for a Hand to Fist: Confronting Medical Colonialism Against Indigenous Children in Canada.
Le jury du premier livre, composé de trois personnes, a salué le travail approfondi comme « un livre important qui définit et affronte le racisme sous toutes ses formes odieuses… un signal d’alarme pour les gouvernements et la communauté médicale ». Un jury Galant a qualifié le livre de « particulièrement essentiel pour les politiciens québécois qui continuent de nier le racisme systémique contre les peuples autochtones et les autres minorités ethniques ».
Mikhail Yusel a remporté le prix Paragraphe Hugh MacLennan de littérature, pour Love Like Water, Love Like Fire, un recueil d’histoires inspirées par l’expérience de l’auteur qui a grandi dans les années crépusculaires de l’ex-Union soviétique et de l’émigration vers l’Amérique du Nord, où il a finalement pris un poste universitaire à Concordia. La plus longue de ces histoires, Les Fenêtres de Moscou, a été choisie avec un grand enthousiasme par le jury, qui l’a décrite comme « brillante… surréaliste et réaliste, pleine d’humour et d’ironie ».
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La liste restreinte pour la catégorie comprenait également le roman de Saleem Nawaz « Songs for the Apocalypse » (écrit avant COVID), Aimee Wall’s We, Jane et Kathleen Winter’s Undersong.
Le prix AM Klein Poetry Award a été décerné à Sarah Venart pour « I Am the Big Heart », un groupe qui a été salué comme un « récit pauvre et poignant de ce que signifie aimer et prendre soin des autres ».
Monique Pollack, triple lauréate du QWF, a remporté le prix Janet Savage Blashford pour la littérature jeunesse et jeunesse pour son roman A Room for Someone Else. Pollack a été honorée pour son histoire, qui se déroule en 1942, sur une écolière montréalaise qui a appris l’expérience des Juifs allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le Prix de la Fondation Cole pour la traduction alterne chaque année entre des titres du français vers l’anglais et de l’anglais vers le français. Cette année, c’était le premier rôle, et l’honneur est revenu à Sarah Henze pour I Am Not a Wildcat ; Qu’as-tu fait pour mon pays ?, la traduction en deux parties de Je suis une Maudite sauvagese et Qu’as-tu fait de mon d’An Antane Kapesh ?, Une paire d’ouvrages publiés pour la première fois dans les années 1970 dans les éditions bilingues français-eno . Le jury a déclaré : « La traduction magistrale et la conclusion perspicace d’Henzi portent une voix puissante et démontrent un engagement d’une rare profondeur envers un texte qui mérite d’être largement lu.
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Le Judy Mabein Society Award, en reconnaissance de contributions exceptionnelles à la littérature de langue anglaise au Québec, a été décerné cette année à deux récipiendaires : le fondateur de Paragraph Library Richard King, H. Nigel Thomas, romancier montréalais, éducateur et fondateur du magazine littéraire Cola, a accompli des réalisations en honorant et en faisant la promotion des écrivains noirs au Québec.
La fête de mercredi était un retour, après une interruption d’un an rendue nécessaire par le coronavirus, dans le lieu qui avait accueilli l’événement pendant presque trois ans depuis 2002. Malgré les restrictions de fréquentation, la reprise de l’atmosphère habituelle de construction communautaire a été chaleureusement accueilli.
Le replay peut être visionné en ligne. Pour plus de détails, visitez qwf.org.
ianmcgillis2@gmail.com
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