Agence France-Presse et société de production caméra POVFondée et réalisée par Alexandre Amell, elle prépare une grande série documentaire sur l’avenir possible de 2080, distribuée par Palanga.
Doté d’un budget de 2,4 millions d’euros (2,7 millions de dollars), le projet bénéficie du soutien d’une société française de télévision payante Canal Plus, alimenté par le CNC et des programmes d’assistance régionaux, est en négociations avancées avec les plateformes de diffusion chinoises et américaines.
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Coproduit avec Jean Mach de Mad Films et produit par Pierre Lergenmuller. Réalisé par Lergenmüller et Sarah Carpentier.
Le documentaire interviewera huit experts dans chaque épisode et parlera d’un avenir alternatif possible – certains brillants, d’autres sombres – en se concentrant sur des sujets tels que le génie génétique, la robotique, le clonage, l’intelligence artificielle, la nanotechnologie, les drones, la colonisation de Mars et les humains . – Hybridation de la machine.
Les quatre épisodes de la saison 1 exploreront les questions de mobilité, d’alimentation, de divertissement et de santé.
Avec l’aimable autorisation de la caméra selfie
En plus de l’utilisation de CGI et de capture de mouvement, la moitié des effets seront basés sur la technologie de production virtuelle, telle qu’utilisée dans la série Disney « The Mandalorian ».
Amell explique qu’il s’agit d’un documentaire tourné vers l’avenir qui utilise les symboles de la science-fiction et de la fantaisie pour le rendre plus intéressant, mais qu’il aura une solide base journalistique.
Depuis 2004, Caméra Selfive a produit des émissions politiques et culturelles fortes et plus de 100 documentaires les plus écoutés en France, dont des séries comme « Ma vie made in France » sur une personne essayant de vivre un an en utilisant uniquement des produits fabriqués en France, et quatre saisons de « Pourquoi nous détestent-ils? » A propos des différents groupes sociaux et ethniques en France qui font l’objet de discrimination.
Christoph Buchenacki, président de Palanga, a présenté Amiel à Mad Films, et ils ont monté le projet.
L’objectif d’Amell est de tracer un avenir alternatif, mais il n’est pas destiné à présenter une vision dystopique en premier lieu, comme on le trouve dans des séries fantastiques telles que « Black Mirror ».
« L’avantage d’utiliser des effets visuels est que nous pouvons non seulement entendre les scientifiques parler de l’avenir potentiel, mais aussi voir à quoi ils ressembleront. Cela rendra le projet plus accessible aux masses », explique Amell.
Avec l’aimable autorisation de la caméra selfie
Lergenmuller explique que l’objectif est d’utiliser CGI pour créer un monde immersif, qui présentera divers futurs potentiels. Il dit que l’une des inspirations du projet est le thriller, film d’action et de science-fiction d’Alfonso Cuaron, Children of Men.
La technologie de production virtuelle utilisera des décors 100 % numériques qui permettront aux acteurs d’interagir directement avec CGI, plutôt que de se fier uniquement aux écrans verts et à leur imagination.
« L’avantage de la production virtuelle est que bien qu’elle demande plus de préparation, la post-production est beaucoup plus facile et plus accessible aux acteurs », explique le responsable.
« Le projet ne consiste pas seulement à prédire l’avenir, mais aussi l’avenir que nous désirons. Les experts définiront différentes visions et différentes voies à suivre. Ensuite, c’est à nous de choisir. «
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