avril 25, 2024

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Kidscreen »Archives» Le nouvel accord de coproduction Canada-France entre en vigueur

L’accord de production conjointe signé entre le Canada et la France l’été dernier a été officiellement mis en œuvre après avoir été approuvé par le Parlement canadien.

Téléfilm Canada a déclaré que l’accord est entré en vigueur le dimanche 1er mai Gère ces ententes au nom du gouvernement du Canada. Le contrat comprend Services cinématographiques, télévisuels et à la demande et Signé le 28 juillet 2021Fournir un cadre actualisé pour les coentreprises entre les deux pays.

Le Canada et la France sont des partenaires fréquents sur ce front depuis des décennies, avec près de 100 projets les reliant entre 2015 et 2020, selon le ministère canadien du Patrimoine.

Le nouvel accord intègre les précédents accords de coproduction qui incluent séparément le cinéma et la télévision. Il « comprend toute séquence de films d’animation, de fiction, d’animation ou de documentaire, avec ou sans son, destinée à une sortie initiale, dans un théâtre, un service de télévision ou un service de média audiovisuel selon les besoins ».

Pour bénéficier du nouveau contrat, une œuvre doit être créée par au moins un producteur de chaque partie. Un fabricant d’un État tiers peut également participer aux travaux conformément aux règles applicables.

À l’exception des producteurs, toute personne impliquée dans une œuvre doit, à quelques exceptions près, être originaire de l’un des États coproducteurs. La contribution financière minimale des producteurs français et canadiens aux services de télévision et de médias audiovisuels à la demande devrait être de 20 % du budget total de production.

Pour les travaux cinématographiques, la contribution financière minimale peut être réduite à 15 % du budget total de production. Avec le consentement mutuel de l’exécutif, le budget total de production pour le cinéma de langue française sera réduit de 10 %.

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Lorsqu’il s’agit de travaux réalisés en collaboration avec un État tiers, la contribution minimale des producteurs autres que français et canadiens est de 10 % du PIB.

Le contrat énonce également un certain nombre de règles régionales indiquant où les travaux doivent être effectués.

Le tournage – ou, le travail d’animation, la production – et tous les services techniques associés à la production doivent être effectués sur le territoire des États producteurs conjoints. Cependant, avec le consentement écrit mutuel des autorités exécutives, une œuvre peut être autorisée à être filmée ou produite sur le territoire d’un État non partisan à des fins d’intrigue ou de création.

Les services techniques peuvent également être fournis sur le territoire d’un ou plusieurs États non partisans : % Du budget total de production de l’œuvre. »

Toutes les prestations de doublage d’une œuvre doivent être réalisées en anglais et en français, dans les états de coproduction.

L’accord stipule que la répartition des droits sur le travail et les revenus est équitablement proportionnée à la contribution financière des producteurs respectifs.

Le contrat prévoit également l’engagement de distribution ou de diffusion de services de télévision et de médias audiovisuels à la demande dans chaque État de production conjointe.

À quelques exceptions près, les emplois cinématographiques doivent avoir un engagement de distribution ou de diffusion de l’œuvre dans son pays.

Téléfilm indique que les projets de coproduction, qui ont reçu une lettre de recommandation préliminaire dans le cadre d’une des ententes de coproduction antérieures avec la France, doivent respecter les termes de ces ententes afin de recevoir la recommandation finale pour l’étape de la coproduction.

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Le contrat sera revu et le contrat sera revu une fois tous les cinq ans.

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