Un rapport provisoire sur l’examen de la gouvernance de Hockey Canada a révélé que l’organisation sportive nationale avait créé un troisième fonds de réserve en espèces pour les réclamations non garanties, qui était largement à l’abri de l’opinion publique et de la responsabilité. L’organisation a également résisté aux appels à la transparence financière car elle craignait que son important excédent de trésorerie ne nuise à sa position de négociation dans les règlements, comme ceux qu’elle a obtenus dans le passé avec des survivantes d’agressions sexuelles.
Bien que le rapport, réalisé par l’ancien juge de la Cour suprême du Canada, l’honorable Thomas Cromwell, ne soit qu’un compte rendu préliminaire de ses conclusions (il devrait publier son rapport complet d’ici la fin octobre), les conclusions sont claires, selon à un expert en surveillance caritative. Et bien que les principales conclusions de Cromwell aient fait l’objet d’une couverture médiatique, des détails troublants se trouvent plus profondément dans le rapport de 103 pages.
« C’est absolument choquant », a déclaré Kate Bahn, directrice générale de Charity Intelligence Canada.
Se fondant sur des dizaines d’entrevues avec des officiels de Hockey Canada, des états financiers, des procès-verbaux du conseil d’administration et d’autres documents de source primaire, Cromwell a conclu que la détention par Hockey Canada d’un fonds national d’actions pour payer les réclamations non assurées, alimentées par les frais d’inscription des joueurs, est en effet une gestion des risques astucieuse. Cependant, la transparence globale concernant le fonds et la manière dont les membres et les participants sont informés de son utilisation sont défectueuses.
Mais le rapport provisoire de Cromwell approfondit l’utilisation des réserves par Hockey Canada pour révéler plusieurs autres découvertes importantes, notamment :
La Ligue de hockey du Canada craignait que le fait d’être considérée comme une organisation aux poches profondes en fasse la cible de réclamations, y compris celles de survivants d’agressions sexuelles, et nuirait à sa position de négociation dans toute négociation de règlement.
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